supported by 67 fans who also own “Distant Shores”
NONE a opéré un virage dans Where Life Should Be et ça se confirme davantage dans Damp Chill of Life. Le temps des métaphores est révolu : l'humidité froide, c'est celle des larmes qui coulent sur le visage à cause de la dépression. Tout pleure dans cet album : les guitares typées DSBM grésillent, les solos ("The Damp Chill of Life", "It's Painless To Let Go") sont liquides et coulent, les voix prennent à la gorge ; même le piano, étranglé par les sanglots ("Cease"), est aphone. Insoutenable... Jordan Vauvert
supported by 59 fans who also own “Distant Shores”
This was truly a revelation. I was getting started with funeral doom, working on something with my headphones on... Then came Déluge... my jaw actually dropped, I stopped what I was doing and, wide-eyed, just listened to the track, baffled and amazed. After the album was over (I never do this), I went to lay down with my headphones to enjoy it over again.
I rarely heard (and felt) this much power and emotion in an album. Until I find something better, this is my landmark for peak funeral doom. fluo
supported by 59 fans who also own “Distant Shores”
On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert